Nous pouvons considérer qu’une personne sur dix est victime d’une influence négative, maléfique, ou d’une nuisance psychique.
Pour l’Europe le chiffre est considérable, le phénomène concernerait des millions de personnes. Pour certains, ce chiffre serait même très en dessous de la réalité, compte tenu de la présence d’émigrés, d’origine, africaine, arabes, asiatiques, dont les coutumes, le sentiment d’isolement, une intégration plus ou moins réussis, le poids des traditions, augmentent le pourcentage moyen de victimes potentielles.
Dans certaines populations, le nombre de personnes concernés atteint près de 25%, soit une personne sur quatre!
Est ce dire que nous côtoyons des millions de personnes envoûtées?
Le véritable envoûtement, c’est-à-dire l’influence organisée techniquement et méthodiquement programmées par un spécialiste est beaucoup plus rare, on peut ramener pudiquement ce chiffre (avec une quasi-certitude) aux 10e du chiffre statistique d’individus réellement victimes de ce type particulièrement redoutable d’agression. Ce qui en soit est déjà effrayant. Outre l’aspect de l’envoûtement rituel, il existe des pratiques mineures qui, si elles n’ont pas les mêmes caractères de gravité (et de durabilité), n’en constituent pas moins des nuisances susceptibles de provoquer des catastrophes. Une analyse plus profonde permet de dégager un important pourcentage de personnes concernées par des situations de nuisances provoquées par des circonstances presque “naturelles”, dont les répercussions à la longue aboutissent au syndrome de l’envoûtement. Même (et surtout) si ces personnes appartiennent à un milieu socioculturel étranger à ce genre de pratique. Leur incrédulité en la matière, l’inexpérience qu’elles ont de ces questions et leur formation rationaliste, font d’elles des victimes de choix.
Il est important dans ce contexte de comprendre les causes de ces diverses situations, pour appliquer les solutions convenables, combattre efficacement les causes ou les neutraliser pour parvenir à des résultats durables.
LES MÉCANISMES DE LA CONSCIENCE
Influences maléfiques et nuisances.
Les techniques et procédures d’envoûtement utilisées par certain opérateurs ou sorciers ne sont pas les seules sources de nuisances susceptibles de provoquer des désagréments physiques, psychologiques, conflictuels, ou induire des situations d’échec. Il existe un grand nombre de causes pouvant provoquer à terme des résultats comparables.
La diversité des sources et l’homogénéité des conséquences rendent parfois difficile l’identification des causes d’une, ou plusieurs actions négatives potentielles. Les différentes tensions générées par le monde moderne sollicitent une grande partie des capacités de défense du conscient et du subconscient. Il convient de souligner que si le “Moi”, siège de notre conscience, ne représente qu’environ 10% des capacités mentales d’un individu, que ce Moi est normalement capable de réagir aux situations de conflit de la vie courante, ses capacités de combat sont pratiquement nulles face aux agressions sournoises venues du monde psychique. Cet univers étrange qui nous environne, possède ses propres lois et les labyrinthes qu’il recèle sont plus effrayants que les jungles les plus noires. C’est dans ce monde parallèle que se produisent les actions les plus troubles et que s’élaborent les manoeuvres les plus pernicieuses.
Ce plan énergétique particulier communément nommé plan astral est en réalité un environnement énergétique qui participe de notre univers, au même titre que les champs électromagnétiques et gravitationnels, il est simplement non perceptible par nos sens physiques classiques. Bien que sa réalité soit mise en cause par la plupart des rationalistes, il est généralement admis par la plupart des techniciens de l’inconscient (psychologues, psychiatres et psychanalystes) non pas dans sa réalité traditionnelle, mais dans la constatation des résultats et actions au niveau de l’inconscient.
Les influences spécifiques de cette catégorie sont celles justement qui interviennent sur le plan discret du subconscient, ce qui correspond à 90% de notre potentiel psychique. Nuisances, envoûtements et influences diverses bénéficient donc d’un milieu privilégié pour agir en toute impunité.
L’inconscient ne perçoit pas les situations de la même manière que le moi, ce masque apparent (Notre personnalité sociale, la persona, selon C.J Jung), façonnée par notre conditionnement social, que nous arborons comme une carapace défensive pour nous protéger des autres et parfois de nous même. Le Moi réagit en fonction de son conditionnement, il analyse une situation avec logique en accord avec l’image de l’adaptation à son environnement et compatible avec l’égo. Le “Moi” s’attache aux actes qu’il comprend, par expérience, ou dont il possède une référence culturelle, il procède par comparaison et classe les informations de la même manière que le ferait un ordinateur, en tenant compte toutefois de certaines “susceptibilités” personnelles, des passions et des tabous faisant partie de la “personnalité”.
L’inconscient réagit aux émotions, aux perceptions sensitives directes ou illogiques en relation avec le plaisir, le désir, et les affects. Il réagit par le plaisir, l’angoisse, la peur et différentes impressions diffuses (morbidité, excitation ,désir, faim, sensualité, dépression, souffrance, peur….) la palette de perception s’étend aux sensations physiques, aux influx d’énergie ainsi qu’aux images et symboles qu’il perçoit où qui appartiennent au conditionnement archaïque commun à l’espèce humaine.
À la différence du conscient, l’inconscient réagit, sans les analyser, aux situations émotionnelles, en procédant de manière globale. il n’y a donc ni logique, ni censure, ni rejet, ni sélection, simplement une assimilation puis une réaction, laquelle s’exprimera soit directement, soit par un comportement ultérieur (interaction avec un complexe) ou s’exprimant au niveau caractériel ou somatique (c’est à dire par une réaction prenant l’aspect d’une maladie).
Les réponses peuvent être une acceptation pure et simple, car correspondant à une nécessité, une recherche ou une compensation, un réflexe de défense, de peur ou d’agressivité et quelquefois il se produit des interférences qui entrent en combinaison avec un acquit pour créer une tension, un conflit, voire renforcer un complexe ou un faisceau d’affects. Dans ce cas, il peut y avoir une modification de la personnalité apparente. En général, les perceptions de l’inconscient s’accumulent un certain temps puis sont oubliées, sauf si elles trouvent un écho au niveau de l’affect ou sont suffisamment fortes pour provoquer une émotion du type plaisir/déplaisir. Dans ce cas l’inconscient cherchera à retrouver cette sensation ou à l’éviter la plupart du temps.
S’il y a persistance ou répétition de la, ou des situations émotionnelles, il y aura accoutumance à la sensation ou à l’évènement, et la réaction de base deviendra peu à peu un réflexe. Il se produira à terme un “gauchissement”, une déformation de la personnalité, voir une programmation qui peut devenir perturbante. Il se peut que la réaction aboutisse à une tension permanente désagréable. Ne pouvant se dérober à l’agression, l’inconscient provoquera un message d’alerte, une réaction somatique. Ne pouvant disposer d’aucun exutoire, pour diminuer ou régler les situations d’angoisse ou de conflit qu’il éprouve, l’inconscient ne peut s’exprimer que par le rêve, la création et les divers signaux d’alarmes constitués par la dépression, la folie, les pulsions de mort et les réactions au niveau corporel (Dégradation, compensation, blocage énergétique, déviation ou modification des circuits d’énergie, etc… )
Ce genre de réaction possède un impact marqué sur le système physiologique: Les maladies psychosomatiques.
La réaction somatique est une action venue de l’inconscient et qui perturbe l’équilibre énergétique du corps, provoquant une maladie. La nature de de l’affection est révélatrice de la nature de la contrainte d’origine. Si la cause n’est pas identifiée, objectivée, prise en compte, l’affection s’installe et la maladie peut devenir chronique. Les médecines énergétiques, dont la plus ancienne est la médecine Ayuverdique (d’origine Indienne), sont très attentives à ce genre de manifestation. Plus de 65% des malades ont une relation plus ou moins directe avec un aspect psychologique, provoquant des réactions somatiques. Les influences négatives peuvent être exprimées par une manifestation de ce type, mais il faut savoir qu’une telle réaction ne se produit très lentement.
Les somatisations indiquent la plupart du temps des actions très anciennes ou répétées depuis de longs mois. Il peut, dans ce cas, être difficile de traiter la cause. Un certain nombre d’affections considérées parfois comme chroniques disparaissent souvent après des interventions de dégagement, et plus précisément dans le cadre de la technique des transfert Holistiques.
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On comprend dès lors que les influences énergétiques ou psychiques extérieurs négatives peuvent avoir de terribles conséquences en induisants des réactions de l’inconscient qui génèrent des manifestations organiques et programment des comportements anormaux. Ces influences provoquent souvent des séquences d’événements parfois désastreux dans la vie quotidienne. Il est important de comprendre ces mécanismes subtils qui sont à la base de situations devenant à la longue incontrôlables. Mais attention il convient d’être extrêmement prudent en matière de maladies ou de syndromes physiques, en effet si une influence négative peut provoquer (ou favoriser une maladie), ce n’est pas toujours le cas. Si une maladie possède une origine naturelle, les actions de dégagement, quelles qu’elles soient, ne pourront provoquer la guérison. Tout au plus favoriseront-elle une convalescence.
Il ne faut pas confondre dégagement et protection avec les pratiques de guérison.
Les agressions de la sphère psychique sont issues de trois type d’action spécifiques:
- Les envoûtements,
- Les actions de type égrégorique (actions faisant intervenir des entités),
- Les formes pensées de l’environnement social (inconscient collectif), publicité, mode stress collectif, manipulations politiques, etc…
Ceci, bien entendu indépendamment des agressions quotidiennes dues à l’activité sociale (contrariétés, perte d’emploi, chômage, vexations, deuil, ruptures, maladies, etc…). Pour comprendre les procédures de dégagement, et en particulier les techniques de désenvoûtement et principalement de contre-envoûtement (Qui constituent, avec les techniques de transfert holistique les seules méthodes efficaces et durables), il convient de comprendre le mécanisme présidant à l’acte de nuisance: L’envoûtement.
Ref: Traité pierre Manoury